Faron non, Espigoulier ouais!
Hello les triathlètes,
Normalement, il était prévu une sortie vers le Faron afin de préparer le triathlon de toulon le 13 mai prochain. C'était sans compter avec l'impondérable d'une course à pied dans cette même montée du Faron aujourd'hui. Lakhdar propose de faire le col de l'Espigoulier à la place. Pourquoi pas? C'est aussi un morceau de choix...
Je retrouve Momo, Lakhdar et Pierre à la piscine comme d'habitude, que des braves en cette heure matinale!
En bas de l'Espigoulier, à Gemenos, Pierre et Lakhdar
Dans les petites rues typiques de Géménos, nous croisons Eric T. qui s'en va prendre son "tour de garde" à la piscine de la Ciotat (il y est maitre nageur).
Le paysage printannier est bucolique, les arbres en fleurs donnent une belle touche de couleur au début de montée. Au passage sous le pont lieu officieux du départ de la montée, je déclenche mon chronomètre.
La vue est superbe, je prends quelques clichés. Lakhdar et Pierre sont partis devant à leur rythme, Maurice est situé quelques encablures derrière moi. Je monte à mon rythme sachant que le retour à La Ciotat n'est pas de tout repos (surtout dans le vallon d'Aubagne). Pour le moment, je distingue bien les lacets qui nous ont menés presque au sommet, la route a été refaite et c'est un vrai régale de rouler sur ce revêtement lisse comme un billard.
Nous retrouvons au sommet encore des connaissances, en l'occurence Thierry G. avec un des ses camarades de club d'Aubagne. 36'04" indique mon chrono, de mémoire c'est pas si ridicule comme temps.
La descente, à flanc de montagne, vers Auriol nous offre une vue splendide d'une part sur la plaine d'Aix avec la magnifique Montagne Sainte Victoire et d'autre part sur Marseille. Je joue les équilibristes avec mon APN en filmant (c'est dimanche, il y a peu de voitures).
Le vallon d'Aubagne, sur le retour, est toujours aussi difficile, mais en préservant un peu de force dans la montée de l'Espigoulier, j'ai suffisamment de réserve pour bien négocier le pas d'Ouillier. Pas loin de 3h15 de ballade pour 80km, les pattes sont un peu dures mais ça nettoie bien les neurones ! Demain, Maurice lance l'idée d'un aquathlon à St Jean (1000m en mer et 7-8 km en course à pied). Ouf! c'est pas de tout repos la vie d'un triathlète ;)))
Akuna
Normalement, il était prévu une sortie vers le Faron afin de préparer le triathlon de toulon le 13 mai prochain. C'était sans compter avec l'impondérable d'une course à pied dans cette même montée du Faron aujourd'hui. Lakhdar propose de faire le col de l'Espigoulier à la place. Pourquoi pas? C'est aussi un morceau de choix...
Je retrouve Momo, Lakhdar et Pierre à la piscine comme d'habitude, que des braves en cette heure matinale!
En bas de l'Espigoulier, à Gemenos, Pierre et Lakhdar
Dans les petites rues typiques de Géménos, nous croisons Eric T. qui s'en va prendre son "tour de garde" à la piscine de la Ciotat (il y est maitre nageur).
Le paysage printannier est bucolique, les arbres en fleurs donnent une belle touche de couleur au début de montée. Au passage sous le pont lieu officieux du départ de la montée, je déclenche mon chronomètre.
La vue est superbe, je prends quelques clichés. Lakhdar et Pierre sont partis devant à leur rythme, Maurice est situé quelques encablures derrière moi. Je monte à mon rythme sachant que le retour à La Ciotat n'est pas de tout repos (surtout dans le vallon d'Aubagne). Pour le moment, je distingue bien les lacets qui nous ont menés presque au sommet, la route a été refaite et c'est un vrai régale de rouler sur ce revêtement lisse comme un billard.
Nous retrouvons au sommet encore des connaissances, en l'occurence Thierry G. avec un des ses camarades de club d'Aubagne. 36'04" indique mon chrono, de mémoire c'est pas si ridicule comme temps.
La descente, à flanc de montagne, vers Auriol nous offre une vue splendide d'une part sur la plaine d'Aix avec la magnifique Montagne Sainte Victoire et d'autre part sur Marseille. Je joue les équilibristes avec mon APN en filmant (c'est dimanche, il y a peu de voitures).
Le vallon d'Aubagne, sur le retour, est toujours aussi difficile, mais en préservant un peu de force dans la montée de l'Espigoulier, j'ai suffisamment de réserve pour bien négocier le pas d'Ouillier. Pas loin de 3h15 de ballade pour 80km, les pattes sont un peu dures mais ça nettoie bien les neurones ! Demain, Maurice lance l'idée d'un aquathlon à St Jean (1000m en mer et 7-8 km en course à pied). Ouf! c'est pas de tout repos la vie d'un triathlète ;)))
Akuna